- Nouveauté

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Expédition en 48h
Emballage soigné
Monture en acier dans son nickelage.
Le bouton-poussoir de verrouillage du pommeau est fonctionnel.
Dos avec rainure de fixation en trèfle.
Garde avec quillon terminé en goutte et tourné vers la poignée, marquage régimentaire du régiment d’infanterie n°12 (2e Brandebourgeois) sur un côté de la croisière.
Deux belles plaquettes en bois clair avec 9 stries obliques et trou de nettoyage rectangulaire.
Elles sont maintenues par deux vis à tête non fendue à gauche et écrous à 2 encoches à droite.
Dos sans garde-flamme, typique du modèle.
Lame de 53 cm dans son beau nickelage.
Elle ne comporte aucun marquage visible.
La lame comporte une gouttière sur chaque face et la pointe se termine en langue de carpe.
Fourreau en bon cuir noir à deux rainures longitudinales.
Deux garnitures en acier nickelé, petites piqûres sous le nickelage.
La chape et la bouterolle ont leurs bordures en accolade, la chape comporte un crochet de suspension.
Portée par les sous-officiers de l'armée allemande en tenue de sortie, à la veille de la Première guerre mondiale.
Référence : 14781224
Longueur : 663mm
Marquage : 12.J.3.40
En Allemagne, les officiers de l'armée portaient généralement des épées en signe de leur rang lorsqu'ils effectuaient des activités officielles en public. À partir de la fin du XIXe siècle, certains sous-officiers et soldats allemands, lorsqu'ils étaient habillés pour « sortir » (quitter la caserne pour des activités non liées au service, comme partir en permission) ou lorsqu'ils portaient des uniformes de parade officiels, ont commencé à arborer des baïonnettes « d'apparat » identiques à l’arme réglementaire de combat du moment. Il s’agissait souvent d’exemplaires de surproduction ou refusée pour le combat qui étaient proposées par l’industrie privée à une clientèle de militaires. Cette pratique se généralisera sous la République de Weimar et de développera encore sous le IIIe Reich. Pour le modèle ABC N 1550.